Paris s’est engagée dans une politique de tramway. Il semble en effet que ce mode de transport soit écologique et efficace pour les usagers. Le retour en force du tramway s’opère sous les yeux des Parisiens chaque jour, près d’un siècle après son apogée.
Au début du 20ème siècle, en effet, les tramways sont légion à Paris : les vieilles cartes postales en sont le témoignage. Le réseau atteint près de 1000 km dans l’ancienne Île-de-France, avec 727 millions de voyages effectués en 1928.
En 1930, les pouvoirs publics y mettent fin car trop encombrants. Ils disparaîtront sous la pression des lobbies routiers, pneumatiques et pétroliers.
55 ans plus tard, avec la pollution parisienne, les tramways réapparaissent. En 1992 arrive le T1 en Seine-Saint-Denis. Aujourd’hui 9 lignes sont en service, et l’on attend la nouvelle ligne T10 (Antony-Clamart), longue de 8 kms environ. Cette ligne sera mise en service en 2023 et croisera la ligne B du RER et le Trans-Val-de-Marne à la Croix de Berny. Elle desservira des zones d’activités et d’emplois, comme le parc d’activités de Plessis-Clamart, ainsi que différents établissements d’enseignement et de recherche et de zones denses d’habitat.
Les Maçons Parisiens et le tramway T10
Dans ce contexte, les constructions de logements et de bureaux se situant sur le tracé du T10 sont vouées à un bon avenir. C’est le cas du projet « Séquen’Ciel », à Châtenay-Malabry (92) conçu par le cabinet d’architecture Bridot Willerval (Maître d’ouvrage : Bouygues immobilier).
Les Maçons Parisiens ont construit, en corps d’état séparés, cet ensemble immobilier de 90 logements collectifs, situé sur un terrain en pente, comprenant deux immeubles totalisant 90 logements, commerces et places de stationnement.
Cette opération est la dernière des trois projets que Les Maçons Parisiens ont réalisé pour le compte de Bouygues Immobilier sur cet emplacement privilégié.
La première réalisation, « Dimensions », propose 67 logements collectifs et s’élève à R+5 et R+6, sur deux niveaux de sous-sol à usage de parking.
La seconde réalisation, « Mikadoz« , est un immeuble à usage de bureaux, d’une surface de plancher de 8 900 m². Il s’élève à R+3 sur un niveau de sous-sol à usage de parking.
Photo@Wikipédia
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